« Derrière la cagoule, tu ne verrais rien, mais moi je vois tout.
La soudure, mes mains et le métal avec lequel je joue.
Dans le froid de l’hiver et au rythme de l’atelier, on entend le forgeron qui tape sur son enclume et la radio de la vieille chaîne. Moi je soude, ponce, découpe, tords et assemble le métal en suivant ma créativité.
Je donne vie à mes plans, et c’est ça qui m’entraîne.
Ici, les gens vont et viennent, c’est un endroit libre où chacun vient comme il est.
On travaille, on se forme et on prône l’entraide. C’est un endroit que l’on aime et où l’on se sent respecté ».