Composer, créer depuis l’expérience. Saisir le geste comme source d’invention.
Chacun l’a expérimenté selon sa variation, mais tous en jouant des affordances, des rapports aux choses.
En laissant l’imaginaire et les sens l’emporter, c’est aussi une nouvelle forme d’agir qui se dégage. Celle qui laisse la place à l’erreur, à l’impromptu, à l’échec. Celle qui « ne laisse pas échapper la complexité du monde » (Loïc Touzé), mais au contraire l’accepte et la valorise.
Très loin de la maîtrise et du contrôle auxquels ces jeunes ingénieurs sont formés, cette forme d’agir n’en est pas moins « efficace ».